L’étoffe d’un champion : Joey Kelly a gagné la première course cycliste mondiale organisée sous l’eau

Bild4Joey Kel­ly est connu pour son éner­gie et son envie irré­pres­sible d’essayer toutes les dis­ci­plines spor­tives inso­lites. Il n’é­tait donc pas ques­tion qu’il laisse pas­ser l’opportunité de par­ti­ci­per à l’une des courses les plus inha­bi­tuelles du monde: la 1re course cycliste sous l’eau qui s’est dérou­lée le 27.06.2013 à Großen­brode sur la mer Bal­tique. Notre spor­tif accom­pli, por­tant des bra­ce­lets spor­tEX — que l’on voit bien sur les pho­tos – a pris le départ en com­pa­gnie de deux autres spor­tifs adeptes des dis­ci­plines extrêmes.

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A midi, Wolf­gang Kulow, l’initiateur de la course, a tes­té le cyclisme sous l’eau en com­pa­gnie de Mar­cel Hei­nig et Joey Kel­ly …. dans une pis­cine. Le soir, le trio s’est ren­du sur le « tra­jet » à par­cou­rir : dans la mer Bal­tique, en paral­lèle au pont de Lehnsahn.

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Les trois intré­pides ont alors atta­qué leur défi équi­pés de com­bi­nai­son de plon­gée, d’une bou­teille d’oxygène et les­tés de 70 kg de plomb. Tous trois ont plon­gé dans l’eau froide et par­cou­ru 600 m à vélo et retour, le tout dans des condi­tions très dif­fi­ciles. Joey Kel­ly a gagné la pre­mière place et Wolf­gang Kulow s’est clas­sé à la deuxième place devant Mar­cel Heinig.

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La chaîne de télé­vi­sion « Sat1 Régio­nal » ain­si que les pro­grammes régio­naux de la NDR ont retrans­mis le spec­tacle sui­vi en direct par env. 2.500 spec­ta­teurs. Et ENERGETIX aus­si était de la par­tie, sous forme de bannière.

Toutes nos féli­ci­ta­tions Joey !

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Conseils de carrière du STARCLUB: Christine Moussu au siège d’ENERGETIX à Bingen

Elle pour­suit une car­rière qui peut être qua­li­fiée d’ex­cep­tion­nelle. Cela fait à peine dix mois que Chris­tine Mous­su est Dis­tri­bu­trice de bijoux ENERGETIX Bin­gen dans sa région, proche du Mont St. Michel, et elle rem­porte déjà un suc­cès incroyable : membre du STARCLUB, qua­li­fiée lors du concours Kenya, elle a occu­pé au mois de juin la place numé­ro un de la liste des meilleurs en matière de VVE et depuis peu, elle conduit fiè­re­ment une voi­ture du pro­gramme ENERGETIXDRIVE.

Elle-même consi­dère ces débuts sen­sa­tion­nels avec une grande humi­li­té : « J’aime les pro­duits, j’aime les gens et j’aime tra­vailler », nous a‑t-elle confié lors de sa visite au siège de Bin­gen le 1er juillet. Cela a été l’occasion pour elle et pour son col­la­bo­ra­teur Rémy Truet de se faire une pre­mière impres­sion du siège de l’entreprise.

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La recette de son suc­cès semble toute simple : « Je vis dans une région très rurale. On y trouve beau­coup de per­sonnes tra­vaillant dans l’agriculture. Ce sont des gens qui aiment se retrou­ver. Et nos pro­duits se vendent très bien quand 10 à 12 per­sonnes se réunissent autour d’une table et prennent leur temps. Ce n’est pas comme au mar­ché ou au super­mar­ché où cha­cun veut quelque chose d’autre. Non, ici on a le temps, on est en bonne com­pa­gnie, on fait connais­sance avec de bons pro­duits et on passe de bons moments. La réser­va­tion d’autres réunions est auto­ma­tique dans une telle atmo­sphère. Il est clair que nous sommes en crise éco­no­mique et que le temps est mau­vais depuis de nom­breuses semaines, mais pour les gens, lorsque je leur montre les bijoux, c’est comme deux heures de soleil et des vacances au milieu du quotidien. »

Lors des ren­contres de Chris­tine, il y a tou­jours deux ou trois clients qui connaissent les pro­duits et qui reprennent qua­si­ment tous ses argu­ments à leur compte. « C’est comme quand tu es content de ta voi­ture. Tu en parles avec ton voi­sin, avec tes amis et tout d’un coup tu les vois éga­le­ment conduire le même modèle. »

Chris­tine Mous­su a encore un autre conseil qui peut être repris par tous : « Lorsque je vais dans une socié­té pour trou­ver de nou­veaux clients, je ne com­mence pas par vendre immé­dia­te­ment des bijoux, car le résul­tat serait bon, mais trop cal­cu­lé. Non, je fixe des réunions avec les col­la­bo­ra­teurs pour pré­sen­ter les bijoux. Le résul­tat est en géné­ral 15 à 20 ren­dez-vous et la roue conti­nue alors de tour­ner. Cela me donne natu­rel­le­ment beau­coup de tra­vail, mais je le fais tou­jours avec enthou­siasme. Les gens le remarquent et c’est cer­tai­ne­ment une rai­son du suc­cès rencontré. »

Mer­ci Madame Mous­su pour cet entre­tien, nous vous sou­hai­tons encore beau­coup de succès !

Les présentations de bijoux stimulent les ventes : Entretien avec Karin Becker

Karin et Klaus Becker, Dis­tri­bu­teurs ENERGETIX, prennent « tout sim­ple­ment beau­coup de plai­sir » à orga­ni­ser des pré­sen­ta­tions de bijoux. En effet, Karin Becker estime qu’à côté des salons et des mar­chés, les réunions à domi­cile sont l’instrument idéal « quand on veut gagner de l’argent rapi­de­ment », car les suc­cès sont pré­vi­sibles. C’est ain­si que ce couple, qui va de suc­cès en suc­cès, montre très concrè­te­ment à ses recrues com­bien de réunions un Dis­tri­bu­teur doit orga­ni­ser au mini­mum pour gagner une somme donnée.

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Une devise motivante
Lorsque Karin Becker a rejoint ENERGETIX Bin­gen il y a presque 10 ans, elle avait déjà de l’expérience dans la vente directe; Klaus, son mari, est Dis­tri­bu­teur depuis quatre ans. Chaque année est pla­cée sous le signe d’une devise spé­ciale, celle de 2013 est : « Parce que la sim­pli­ci­té, c’est tout sim­ple­ment simple. » En effet, le retour à la sim­pli­ci­té est la recette de leur réus­site, leur maxime abso­lue qu’ils trans­mettent sans cesse et volon­tiers à leur des­cen­dance, en crois­sance constante. On ne demande pas aux Dis­tri­bu­teurs « d’inventer, il leur suf­fit d’être plus pré­sents pour être plus demandés. »

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Il faut que le plai­sir soit au ren­dez-vous« Sor­tez, pre­nez plai­sir à ce que vous faites et bien sûr, n’oubliez pas les réser­va­tions » : c’est par ces mots très prag­ma­tiques que Karin Becker for­mule l’essentiel de ses conseils aux Dis­tri­bu­teurs. « Il faut que le tra­vail vous plaise. Si vous tra­vaillez avec plai­sir, si vous faites rire les gens et si vous les inté­grez, alors ils vous deman­de­ront d’organiser des réunions. »

Natu­rel­le­ment, Karin et Klaus Becker sont sou­vent pré­sents sur les mar­chés, ce qui leur plaît tout autant : « Quatre per­sonnes sur le stand qui s’amusent comme vingt. » Ils entendent alors dire : « C’est la pre­mière fois que je vois un stand aus­si drôle ! »

En outre, Karin Becker pré­co­nise « de ne pas mettre la vente en avant. » Non seule­ment elle et son mari conseillent d’aborder les acti­vi­tés avec décon­trac­tion, mais ils appliquent eux-mêmes ce cré­do et n’hésitent pas « à oser sor­tir des sen­tiers battus. »

Pro­po­ser son aide – les ques­tions sont les bienvenues
Karin Becker fait peu de cas des concepts figés, des pro­cé­dures toutes faites. Elle agit avec dyna­misme, pro­pose son aide, encou­rage à la curio­si­té : « Les recrues ne doivent pas craindre de poser des questions. »

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Retour d’information
Les réac­tions posi­tives au tra­vail de Karin et Klaus Becker sont nom­breuses. « Quelle soi­rée magni­fique » — ce genre de com­men­taires de la part des clients et des hôtes est pour eux « ce qu’il y a de mieux ». Dans le même temps, ce couple habi­tué au suc­cès attache une grande impor­tance à don­ner son avis sou­vent et avec une grande hon­nê­te­té : c’est le seul moyen de pro­gres­ser, de pou­voir faire un tra­vail sur soi.

Mer­ci beau­coup pour cet entre­tien, Karin Becker.

Cultures majeures : Kenya, jour 8e, Diani — Nairobi — Abu Dhabi — Frankfurt

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« Chers Dis­tri­bu­trices, Chers Distributeurs,

De retour au pays, je vous envoie un petit bon­jour ! Nous sommes tous bien arri­vés ce matin à Franc­fort, un peu fati­gués, mais très heu­reux ! Comme les der­nières heures pas­sées au Kenya et le voyage de retour ont été riches en sen­sa­tions, je ne peux résis­ter à rompre ma pro­messe de ne plus écrire sur le blog et que je vous dis avec joie : voi­ci encore une contribution !

1En tout pre­mier lieu, je vous trans­mets les pho­tos de la der­nière soi­rée et du repas d’adieu au Kenya. Voyez donc ces pho­to­gra­phies d’un res­tau­rant situé dans une grotte, à 50 pieds sous le niveau de la mer et offrant mal­gré tout une vue sur le ciel. Ce n’est pas sans rai­son que l’établissement se nomme « Ali Babour’s », nous nous sommes sen­tis comme dans la vrai caverne d’Ali Baba, entou­rés d’or! (Voir éga­le­ment à ce sujet la contri­bu­tion du jour 7e)

Petite anec­dote : juste à côté, un res­tau­rant s’est ouvert qui porte le nom de « The 40 Thieves » (Les 40 voleurs), dans l’espoir sans doute de tirer pro­fit de l’é­clat d’A­li Baba, mais il m’a sem­blé quand même bien vide. C’est ain­si avec la concur­rence, ce sont les meilleurs qui gagnent. N’ayez donc aucune crainte, soyez tout sim­ple­ment les meilleurs! Lire la suite

“Jambo Bwana”

“Jam­bo, Jam­bo Bwa­na, haba­ri gani? Mzu­ri sana!
Wage­ni mwa­ka­ri­bi­sh­wa, Kenya yetu haku­na matata.
Kenya nchi nzu­ri. Haku­na matata.
Nchi ya kupen­de­za. Haku­na matata.
Nchi ya ma’ajabu. Haku­na matata.
Nchi yenye ama­ni. Haku­na matata.”

Cultures majeures : Kenya, jour 7e, Diani

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« Chères Dis­tri­bu­trices, Chers Distributeurs,

Je vais vous par­ler aujourd’hui d’une pro­me­nade en bateau qui a tour­né court, de nuit sous les étoiles et de larmes et ce sera éga­le­ment la der­nière contri­bu­tion de ce jour­nal de voyage au Kenya, mal­heu­reu­se­ment. Toutes les bonnes choses ont une fin … mais ça vous le savez déjà.

IMG_8275Lever à 6 heures, tra­jet en bus jus­qu’au bateau, navi­ga­tion pen­dant 30 minutes, puis retour au port. Déjà ? Et oui, il y avait tout sim­ple­ment trop de vent et de pluie – la pho­to que Roland a prise en témoigne. Tous nos Dis­tri­bu­teurs ont réagi avec un grand esprit spor­tif et s’en sont fiè­re­ment retour­nés à l’hô­tel : « Nous avons affron­té les élé­ments! » C’est ça l’esprit d’équipe Ener­ge­tix ! Et ce voyage a démon­tré avec brio l’am­biance qui règne géné­ra­le­ment chez Ener­ge­tix : cha­cun aide son voi­sin, dans les bons comme dans les mau­vais jours. Pour moi, “non Dis­tri­bu­teur”, il est tou­jours plai­sant et émou­vant de le consta­ter et de m’en sou­ve­nir. Quelqu’un prête son spray anti-mous­tiques, un autre masse des pieds fati­gués et le moindre bobo se soigne avec une abon­dance de médi­ca­ments. Et ceci avec autant de natu­rel que les échanges de trucs et astuces concer­nant l’activité Ener­ge­tix. Lire la suite

Cultures majeures : Kenya, jour 5e, Masai Mara

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« Chères Dis­tri­bu­trices, Chers Distributeurs,

J’espère que vous avez pas­sé un excellent week-end, pour nous ça a été le cas, ô com­bien! Vous est-il déjà arri­vé que l’on mette une bouillote dans votre lit d’hôtel ? Cela m’étonnerait et sur­tout en Afrique. C’est pour­tant ce qui s’est pas­sé dans notre lodge Masai Mara où l’on a pla­cé une bouillote dans mon lit ain­si que dans celui de tous les par­ti­ci­pants. Si j’avais été au cou­rant, j’aurais natu­rel­le­ment décli­né poli­ment cette offre. Qui a donc besoin d’une bouillotte dans son lit ? Sur­tout en été ! Mais ici ce n’est pas l’été et je n’étais pas au cou­rant non plus qu’à minuit pré­cise on cou­pait l’élec­tri­ci­té. Je suis donc allé jusqu’à mon lit à tâtons, j’ai cher­ché l’en­trée de la mous­ti­quaire et je suis tom­bé sur la bouillotte bal­lot­tante en caoutchouc.

Après avoir sur­mon­té ma sur­prise et m’être assu­ré qu’aucune tor­tue n’avait ram­pé dans mon lit, je dois vous avouer que j’ai trou­vé cela très agréable, car ici c’est bien l’hi­ver actuel­le­ment ! Tous les Dis­tri­bu­teurs m’ont assu­ré au matin qu’il en avait été de même pour eux.

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Pro­fi­tez donc main­te­nant des contri­bu­tions de cer­tains de nos heu­reux gagnants ain­si que des superbes pho­to­gra­phies des ani­maux et des hommes de ce pays fas­ci­nant. Lire la suite

Cultures majeures : Kenya, jour 4e, Masai Mara

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« Bon­jour chers Dis­tri­bu­teurs ou, comme on dit au Kenya, Jumbo !

Au qua­trième jour de notre voyage de for­ma­tion, je vous écris du Masai Mara, le pays des Mas­saï. Vous vous êtes cer­tai­ne­ment déjà ren­dus dans un grand centre com­mer­cial ou chez des amis à 80 km de chez vous en vous disant, pas de pro­blème, si la cir­cu­la­tion n’est pas trop char­gée, j’y serai en 45 minutes. C’est aus­si ce que nous avons pen­sé ! Et la cir­cu­la­tion était bonne, très calme même. Mais la route pas du tout ! Et les der­niers 80 km des 500 que nous avons par­cou­rus aujourd’hui étaient sau­vages. Vrai­ment sau­vages ! Tous les gagnants Ener­ge­tix ont pro­fi­té de 4 heures de Power Plate en étant plus que secoués dans les jeeps. Com­ment peut-on conduire dans ces condi­tions ? Nous nous le sommes deman­dés en regar­dant faire nos six chauffeurs.

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Je vou­lais en fait abor­der un autre sujet avec vous, car trois Dis­tri­bu­teurs vont vous trans­mettre leurs impres­sions aujourd’hui, mais je suis encore tout retour­né de la jour­née. Nous avons en effet cre­vé un pneu de notre jeep ; ima­gi­nez-vous, nous étions le der­nier véhi­cule de la file et nous nous sommes retrou­vés tous seuls dans la brousse kenyane, à proxi­mi­té des élé­phants et autres ani­maux – que nous n’a­vons pas vus, mais eux si, cer­tai­ne­ment. Lire la suite

Joey met sportEX en scène – séance photo avec Joey Kelly

Fotostudio Loft

Une séance pho­to ENERGETIX exclu­sive avec Joey Kel­ly a eu lieu le mar­di 11 juin 2013 à Dort­mund (Alle­magne). Ce sym­pa­thique spor­tif de l’extrême y a mis en scène les bra­ce­lets spor­tEX d’ENERGETIX avec beau­coup de dyna­misme. Le pho­to­graphe Tho­mas Sta­chel­haus, son équipe et la star très équi­li­brée se sont enten­dus à mer­veille. Les pho­tos sont encore sous clé … mais nous pou­vons déjà vous dire que Joey et spor­tEX forment un excellent duo, vous pou­vez être impa­tients de voir les résul­tats ! Et peut-être le bra­ce­let spor­tEX sor­ti­ra-t-il dans une nou­velle cou­leur cette année ?