Coup d’œil dans les coulisses : la nouvelle collection de bijoux — interview : 4e partie de 5

Inter­view de Janine Eisen­hauer, res­pon­sable du desi­gn des bijoux chez ENERGETIX Bin­gen

Dans les pro­chaines semaines, FROGBLOG vous pré­sen­te­ra les cha­pitres sui­vants de l’interview com­plète. Cli­quez, c’est pas­sion­nant !

SPORT EX

ENERGETIX s’aventure sur un nou­veau ter­rain et met sur le mar­ché un bra­ce­let en sili­cone.

J. E.: Nous avons enfin réus­si ce pro­jet après une très longue période de déve­lop­pe­ment. Nous nous sommes posé comme objec­tif de déve­lop­per un pro­duit ENERGETIX entiè­re­ment nou­veau, spé­cia­le­ment des­ti­né aux spor­tifs, et inté­grant natu­rel­le­ment des aimants. C’était un grand défi qui s’est accom­pa­gné de nom­breux revers avant que nous ne par­ve­nions à véri­ta­ble­ment inté­grer les aimants de façon abso­lu­ment étanche. C’est sur ce point que le bra­ce­let spor­tEX se dis­tingue de notre col­lec­tion nor­male ain­si que des bra­ce­lets habi­tuels en sili­cone que l’on trouve dans le domaine du sport. Le bra­ce­let spor­tEX contient trois aimants inté­grés de façon étanche. Pour déve­lop­per ce bra­ce­let, nous avons emprun­té une toute nou­velle voie et nous avons trou­vé un par­te­naire alle­mand pour tra­vailler avec nous au déve­lop­pe­ment et à la pro­duc­tion. Ce par­te­naire est prin­ci­pa­le­ment spé­cia­li­sé dans le déve­lop­pe­ment de com­po­sants en sili­cone pour l’industrie auto­mo­bile.

Fran­zis­ka van Alm­sick – le visage des nou­veaux bra­ce­lets spor­tEX en sili­cone souple

Je me réjouis tout par­ti­cu­liè­re­ment de la pré­sence du for­mi­dable modèle qu’est Fran­zis­ka van Alm­sick qui a accep­té de nous accom­pa­gner pour la cam­pagne Spor­tEX. Elle réunit de nom­breuses qua­li­tés tout à fait en har­mo­nie avec notre pro­duit. Nous avons tra­vaillé ensemble de façon très pro­fes­sion­nelle, mais éga­le­ment avec beau­coup de plai­sir, ce qui se reflète clai­re­ment dans les pho­tos.

Outre leur desi­gn et leur maté­riau, les bra­ce­lets spor­tEX sont éga­le­ment ten­dance en matière de cou­leurs.

J. E.: Oui, nous ne vou­lions pas nous limi­ter à une seule cou­leur, c’est pour­quoi nous en avons choi­si six : les cou­leurs ten­dance rose vif, vert, bleu et gris. Celles-ci sont com­plé­tées par deux cou­leurs stan­dards, le noir et le blanc. Quant au desi­gn, nous l’avons déve­lop­pé avec une équipe de desi­gners ber­li­nois.

 

spor­tEX

A pro­pos du maté­riau, on peut sou­li­gner que le sili­cone est très agréable à por­ter. Nous l’avons pour­vu d’un film pro­tec­teur anti-sta­tique et il répond natu­rel­le­ment à toutes les direc­tives de l’UE en matière de com­po­sants.

CHARACTER

New York pré­sente un visage à mille facettes et elle est vrai­ment le site idéal pour le shoo­ting pho­to de la col­lec­tion Cha­rac­ter. L’équipe a choi­si le quar­tier de New York appe­lé DUMBO...

J. E.: DUMBO est un nom bizarre au pre­mier abord. C’est en fait l’abréviation de « Down Under Man­hat­tan Bridge Over­pass ». Pas vrai­ment roman­tique … Mais les pho­tos sont tota­le­ment réus­sies. Nous nous sommes sou­vent ren­dus dans des quar­tiers peu fré­quen­tés afin d’y cap­ter une atmo­sphère par­ti­cu­lière. DUMBO est sale, pous­sié­reux et extrê­me­ment bruyant quand le métro roule avec fra­cas sur le Man­hat­tan Bridge. Nous avons trou­vé les lieux de shoo­ting entre les sta­tions de trans­for­ma­tion et les entre­pôts. Et comme c’est l’habitude à New York, ce quar­tier est en train d’évoluer pour deve­nir un endroit recher­ché avec des bâti­ments modernes entre des immeubles déla­brés, on constate que les prix de l’immobilier sont en train d’y grim­per. Lorsque nous y étions, nous avons ren­con­tré au moins trois autres équipes de pro­duc­tion de film et de pho­to­gra­phies.

 

Et qu’y a-t’ il de nou­veau dans la gamme Cha­rac­ter, Madame Eisen­hauer ?

Caté­go­rie Cha­rac­ter — bra­ce­let 2112

J. E.: On peut citer notam­ment le bra­ce­let 2112 dont le motif évoque les pavés ou les struc­tures maçon­nées. Je le trouve très spé­cial, très mas­cu­lin. Il existe natu­rel­le­ment un pen­den­tif assor­ti.

Les bijoux de la page 99 du cata­logue évoquent le sym­bole asia­tique du yin et du yang. Ce n’est pas par hasard, je sup­pose ?

J. E.: Non, en effet, nous nous sommes bien ins­pi­rés du motif clas­sique du yin et du yang dans cette série. Nous l’avons créé ici avec deux élé­ments de pen­den­tif qui sont indé­pen­dants et peuvent être por­tés seuls ou ensemble. Deux formes en U qui s’imbriquent comme deux grands aimants en fer à che­val.

 

EX in the City — page 99

Dans cette série, on trouve éga­le­ment des bre­loques fonc­tion­nant sur le même prin­cipe que le pen­den­tif, ain­si qu’un élé­ment cen­tral pour bra­ce­let doté d’aimants puis­sants et qui repend éga­le­ment les deux élé­ments en forme de U.

Mer­ci beau­coup, Madame Eisen­hauer, et à bien­tôt pour la cin­quième par­tie.