L’histoire du suc­cès d’ENERGETIX en Fin­lande a  com­men­cé il y a envi­ron dix ans avec Marianne Kos­ta­mo, membre de l’équipe de  Renée Piguet, Dis­tri­bu­trice indé­pen­dante qui vit en Suisse. Mer­ja Fera­hyan, qui a débu­té ses acti­vi­tés pour ENERGETIX en mars 2012, les a rejointes et s’engage aujourd’hui comme per­sonne de contact pour tous les Dis­tri­bu­teurs en Fin­lande. Elle et Marianne Kos­ta­mo contri­buent, par leurs acti­vi­tés, au suc­cès d’ENERGETIX en Europe du Nord.

For­ma­tion en Fin­lande avec Mer­ja Ferahyan

Véri­table citoyenne du monde, Renée Piguet se rend en Fin­lande une à deux fois par an pour sou­te­nir son équipe sur place. Son der­nier voyage date de février 2014 dans le cadre de for­ma­tions impor­tantes à Espoo/Helsinki, Hei­no­la et Kuo­pio. Au total, quelque 30 Dis­tri­bu­trices et Dis­tri­bu­teurs enthou­siastes ont par­ti­ci­pé à ces trois for­ma­tions, qui ont de nou­veau été une vraie réussite.

La nou­velle col­lec­tion prin­temps / été a sus­ci­té des réac­tions impres­sion­nantes. Ils ont tout de suite com­men­cé à sai­sir les bijoux, raconte Renée Piguet. C’est un très bon signe qui témoigne de la joie anti­ci­pée avec laquelle les par­ti­ci­pants ont vou­lu voir et pal­per la qua­li­té des nou­velles créations.

Mer­ja Fera­hyan en com­pa­gnie de Renée Piguet

Mer­ja Fera­hyan a su convaincre par une pré­sen­ta­tion Power Point riche en infor­ma­tions sur la nou­velle col­lec­tion, que tous les par­ti­ci­pants ont très bien accueillie. Renée Piguet a diri­gé une for­ma­tion de moti­va­tion spé­ciale qui a su sti­mu­ler les par­ti­ci­pants et même accroître encore leur moti­va­tion – dans une ambiance déten­due lors d’un léger déjeuner.

Dans un proche ave­nir, ces Dis­tri­bu­trices dyna­miques pré­voient de répondre aux sou­haits et aux besoins des Fin­lan­dais de manière encore plus ciblée et d’organiser des for­ma­tions encore plus sou­vent, car « la Fin­lande est grande ». Il y a aura éga­le­ment des for­ma­tions en ligne en finlandais.

Il y a quelques jours, c’est par­ti ! L’expédition « Camp David » com­po­sée de deux équipes est par­tie pour le Cap Horn. A sa tête : notre as de l’endurance et fan spor­tEX, Joey Kelly !

A peine reve­nu de la jungle thaï­lan­daise, Joey est par­ti pour l’Amérique du Sud, plus exac­te­ment vers le sud de la Pata­go­nie avec un groupe de 10 adeptes d’aventure, sélec­tion­nés par­mi plus de 2000 concur­rents. C’est à Pun­ta Are­nas, au Chi­li, la grande ville la plus méri­dio­nale du monde que les deux équipes ont com­men­cé leur aven­ture : l’ « équipe verte » menée par Joey Kel­ly a don­né la pré­fé­rence à la voie ter­restre contrai­re­ment à l’ « équipe bleue » qui a choi­si la voie mari­time. Leur but à toutes deux : rejoindre Puer­to Navarino.

10 jours, 2 équipes. L’aventure compte au total 18 par­ti­ci­pants (10 dans l’équipe verte et 8 dans la bleue) ain­si que 4 membres char­gés de l’organisation et 2 res­pon­sables de l’expédition/de chaque équipe : Joey Kel­ly et Sven Penszuk.

A pro­pos, un groupe de Dis­tri­bu­teurs ENERGETIX est déjà allé en Pata­go­nie, c’était en 2012, le voyage de for­ma­tion de la pre­mière caté­go­rie les a conduits jusqu’en Argen­tine et ils sont allés jusqu’en Patagonie !

Dr. Clau­dia Bregulla-Linke

Joey Kel­ly, le spor­tif de l’extrême, ne jure que par spor­tEX et il est loin d’être le seul. De nom­breux spor­tifs sont ravis de cette ligne. Un excellent exemple : le Dr Clau­dia Bregulla-Linke.

Cette tri­ath­lète confir­mée et mul­tiple com­pé­ti­trice vivant en Bavière, à Utting am Ammer­see, est char­gée de la for­ma­tion des pro­fes­seurs de sport à l’institut fédé­ral d’Augsbourg. Outre des sports aqua­tiques et d’hiver les plus variés, elle pra­tique inten­si­ve­ment la nata­tion, la course à pieds et le vélo, sa dis­ci­pline reine. Née en 1967 et mère de trois enfants, elle a rem­por­té de nom­breuses vic­toires spor­tives et a notam­ment été cham­pionne alle­mande de tri­ath­lon en dis­tance moyenne en 2012. Le tout en por­tant spor­tEX au poignet !

Nous sou­hai­tons à Clau­dia Bre­gul­la-Linke encore de nom­breux suc­cès dans toutes les disciplines!

… que le pen­den­tif rec­tan­gu­laire en acier sur­fin (2563–1) et le pen­den­tif en forme de cœur orné de cris­taux étin­ce­lants (1177) peuvent être déli­ca­te­ment per­son­na­li­sés en y gra­vant un prénom ?

Vous aime­riez rece­voir des conseils de la part de Dis­tri­bu­teurs expé­ri­men­tés ? Il n’y a qu’à deman­der ! Sur le canal You­Tube ENERGETIX, deux nou­velles vidéos infor­ma­tives n’attendent que vous.

Dans la vidéo inti­tu­lée « Quand le rêve devient réa­li­té – une car­rière chez ENERGETIX », la Dis­tri­bu­trice ENERGETIX Renée Piguet, qui vit en Suisse, nous donne un aper­çu exclu­sif de sa phi­lo­so­phie et de sa méthode de tra­vail basée sur la com­mu­ni­ca­tion, l’ouverture, l’aptitude à tirer pro­fit des chances et des poten­tiels ain­si que sur le plai­sir, un élé­ment impor­tant  ne pas à oublier !

Dans le film por­tant le titre « Vendre des bijoux est une affaire d’homme », Bernd Lind­hauer, Dis­tri­bu­teur indé­pen­dant ENERGETIX, four­nit de pré­cieux conseils pra­tiques et explique pour­quoi cette acti­vi­té n’est en aucun cas réser­vée aux dames. La réus­site de Bernd Lind­hauer prouve que les hommes éga­le­ment peuvent avoir de la satis­fac­tion et du suc­cès dans cette branche quand ils s’y impliquent « avec plai­sir et enthousiasme ».

Ces brèves vidéos sont dès à pré­sent dis­po­nibles sur le canal You­Tube ENERGETIX et ceci en fran­çais, en alle­mand, en anglais et en néerlandais !

Nous vous sou­hai­tons beau­coup de plai­sir à les regarder !

David Schna­bel est ravi d’être « spon­so­ri­sé » par Karin Christ, Dis­tri­bu­trice ENERGETIX très enga­gée (mer­ci beau­coup pour la pho­to !) qui l’a « équi­pé » de deux bra­ce­lets spor­tEX et d’un maillot sportEX.

Ayant rem­por­té huit titres de cham­pion du monde, le meilleur cycliste artis­tique de l’histoire de cette forme de cyclisme en salle détient le record mon­dial actuel de cyclisme artis­tique en individuel.

Vous trou­ve­rez de plus amples infor­ma­tions sur David Schna­bel sur son site : www.david-schnabel.de

« Quand je me suis ins­crite au semi-mara­thon de Mayence, je n’avais encore jamais cou­ru une aus­si grande dis­tance de toute ma vie ! J’ai éga­le­ment deman­dé conseil à quelques amis expé­ri­men­tés et tous ont dit la même chose : y aller dou­ce­ment. C’est exac­te­ment ce qu’Hugo et moi avons fait : nous sommes allé cou­rir trois fois par semaine et avons aug­men­té notre rythme très pro­gres­si­ve­ment. Au début, nous mar­chions plus que nous ne cou­rions. Mais nous avons réus­si à tenir une minute de plus chaque jour jusqu’à ce qu’un jour, nous avons cou­ru plus que mar­ché. Après quatre semaines, nous étions arri­vés au stade de quatre minutes de course et une minute de marche – et ce quatre fois de suite, c’est-à-dire 20 minutes au total. Puis nous avons cou­ru une minute de plus chaque semaine, tout en main­te­nant la minute de marche entre chaque série. C’était dif­fi­cile au début, mais j’ai peu à peu com­men­cé à y prendre gout.

En ce moment, nous sommes en vacances au Mozam­bique et nous cou­rons chaque jour le long de la plage. Par­fois le sable est très mou, ce qui rend la course plus dif­fi­cile pour nous. La cha­leur et le vent très fort rendent éga­le­ment le défi encore plus dif­fi­cile à relever.

Nous cou­rons main­te­nant entre 45 minutes et 1 heure en inter­ca­lant ici et là une minute de marche afin de reprendre notre souffle. Grâce à l’effort phy­sique four­ni, je me sens incroya­ble­ment bien et je me réjouis de me retrou­ver peu à peu en meilleure forme. Je me sens pleine d’énergie et je dors mieux. En jan­vier, je cour­rai pour la pre­mière fois une dis­tance de 10 km. Mon objec­tif est de les par­cou­rir en à peine plus d’une heure. J’espère que cela n’est pas trop ambitieux …

J’espère que nous ver­rons beau­coup de t‑shirts ENERGETIX à Mayence. Ce sera une expé­rience mer­veilleuse, et aus­si je l’espère très amu­sante. Bon entraî­ne­ment !! » (Liesje Tem­pel­man, Fon­da­tion Hugo Tempelman)

Men­na, tu as acquis la célé­bri­té dans l’espace ger­ma­no­phone par ta par­ti­ci­pa­tion à « The Voice of Ger­ma­ny ». Qu’espérais-tu de ta par­ti­ci­pa­tion à cette émis­sion et est-ce que tes attentes ont été comblées ?

Je vou­lais sim­ple­ment dépas­ser la région de Mayence-Bin­gen et acqué­rir de l’expérience. Ça a mar­ché : Deve­nir  riche et célèbre après une telle émis­sion est irréa­liste. Ça ne marche pas ain­si. Ce qui me paraît (désor­mais) plus facile, ce sont de nom­breux élé­ments fai­sant par­tie du show-busi­ness, tels que les inter­views à la télé­vi­sion par exemple.

Dans le cadre de cette émis­sion de télé­vi­sion, tu as été « coa­chée » par Nena. Qu’est-ce que cela a appor­té à ta musique et à toi-même ?

Être dans l’équipe de Nena repré­sen­tait un vrai défi, car nous évo­luons dans des uni­vers musi­caux tota­le­ment dif­fé­rents. Ce qu’elle m’a appris c’est que l’on doit tou­jours res­ter fidèle à soi-même et  à ses idées. 

Que s’est-il pas­sé après « The Voice of Germany » ?

J’ai ensuite don­né des concerts dans toute l’Allemagne. Ma par­ti­ci­pa­tion a natu­rel­le­ment faci­li­té l’organisation à la tour­née amé­ri­caine. Il s’agit main­te­nant de trou­ver un orga­ni­sa­teur et un agent afin que je puisse tou­cher un public encore plus large avec ma musique.

Depuis quand connais-tu ENERGETIX en fait ?

En juillet 2013, j’ai chan­té à l’abbaye d’Eberbach lors d’une mani­fes­ta­tion d’Energetix. Pour mon pia­niste Ger­not Blume et pour moi, ça a été une repré­sen­ta­tion très par­ti­cu­lière, car l’atmosphère était tout sim­ple­ment magni­fique. L’acoustique dans l’église et le public très sym­pa­thique nous sont res­tés en mémoire. 

As-tu un bijou préféré ?

Je change sou­vent, mais en ce moment je porte sou­vent la croix de la ligne « Orien­tal Fas­ci­na­tion ». Elle me rap­pelle la croix éthio­pienne traditionnelle.

Dans un mes­sage que tu as écrit sur la page offi­cielle Face­book ENERGETIX, on peut lire que tu as por­té ton bijou ENERGETIX en le consi­dé­rant comme un porte-bon­heur ! Consi­dères-tu que tu as de la chance ? 

Oui, je le crois vrai­ment. De nom­breuses choses dans ma vie s’assemblent vrai­ment à la perfection !

Et à quoi tes fans doivent-ils s’attendre à l’avenir ?

Je suis, comme eux, impa­tiente de savoir quelles vont être les portes qui vont s’ouvrir à moi. Je sou­haite encore déve­lop­per le côté éthio­pien de ma musique et trou­ver un agent afin de chan­ter sur des scènes encore plus grandes. 

Au mois de jan­vier, je vais chan­ter lors d’une mani­fes­ta­tion d’Energetix et j’en suis déjà ravie.

Mer­ci Men­na pour cet entre­tien. Nous sommes impa­tients de te voir en concert avec ton groupe et nous vous sou­hai­tons éga­le­ment beau­coup de suc­cès à l’avenir !